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Le Tzimtzoum

Selon la Kabbale, le processus de la création a commencé par le "retrait" de la lumière infinie de D-ieu d'une manière parfaitement circulaire en un Point Central. Cette contraction primordiale initiale est connue sous le nom de "Tzimtzoum" (Etz Chaim 1). Sans le Tzimtzoum, la création serait anéantie par la lumière infinie de D-ieu et ne pourrait exister.

La Guématria de Tzimtzoum (צימצום tel qu'il est prononcé)
= 276 (c’est aussi la guématria de הריון-grossesse 271 + les 5 lettres)

Tzimtzoum avec un Youd est très intéressant — c’est comme un Tzimtzoum "enceint" (צימצום)

La Guématria de Genèse 1:1=2701
Le point central de 2701=1351(Torat Hach-em ou Torat Moché)
Le point central de 1351=676(262 D.ieu. Point central final)

Étonnamment: 1351×676=913,276 (Bérésheit=913 et Tzimtzoum=276)

Qui aurait pu s’attendre à obtenir exactement ces nombres à partir de nombres apparemment sans rapport tels que 676 et 1351 ? Cela suggère à nouveau le lien avec Bérésheit en tant que grossesse ultime — la création du monde (voir section "Beit Binah"). En effet, 2701 fait allusion à 271 (grossesse). Pourquoi voyons-nous un "zéro" à l’intérieur ? C’est comme "gonflé" avec un zéro à l’intérieur — c’est donc une allusion assez directe. D’autant plus que le premier verset est véritablement la couronne des 10 paroles et contient tout en lui.

Maintenant, Pi est le nombre que D-ieu a utilisé pour amener le Tzimtzoum de manière complète et entière depuis "Hachem Echad" (D-ieu est Un) afin d'avoir les créations (je le dis très simplement)[1].

Regardons où le Tzimtzoum (276) apparaît pour la première fois dans Pi.

Tzimtzoum
3758985243744170291327656180937734440307074
 ^ <-- 3,796ᵉ chiffre
276 apparaît en premier au 3,796ᵉ chiffre de Pi

Observez que 913 apparaît avant 276, tout comme 1351×676=913,276
Et l’emplacement est : 3,796 = 2×26×73
= Beit/Maison (2) de sagesse divine (26×73) qui est essentiellement ce qu'est le monde. Tout dans l’univers reflète une sagesse divine infinie.

Observez aussi que la séquence avant 913 est :
37-441-702 (Sagesse=37, 441=Vérité, 702=Chabbat).

Tous ces concepts sont liés au point central de la création. En effet, le point central de la création est d’une importance capitale et nous devons nous y faire face lorsque nous prions. Il y a beaucoup à dire à ce sujet.

Pourquoi D.ieu a-t-Il donné la Torah ? Parce qu’elle est destinée à Israël (et à toute l’humanité) pour choisir le bien — ce qui, comme me l'a profondément expliqué le rabbin Yitzhak Ginsburg, se manifeste en se concentrant sur le verset :

« Écoute Israël, Hachem est notre D.ieu, Hachem est Un » (Deut.6:4).

Savoir que D.ieu est Un et l’intégrer à tous les niveaux de conscience est notre travail, et de là que découle plus ou moins tout[1].

La Guématria de ce verset est :
« Écoute, Israël… » (שמע ישראל י-הוה א-להינו י-הוה אחד)
= 1,118

Observez que les deux premiers mots de Genèse 1:1 = Bereisheit Barah (בראשית ברא) = 1,116
Si l’on ajoute +2 pour ces deux mots = 1,118 (Abir Yaakov, Bérésheit) (ajouter le nombre de mots est une technique bien établie de guématria parfois utilisée)

L’allusion ici est que, lorsqu’on récite le Shema, il faut revenir à « Bérésheit Barah » — réaliser que la « nature » n’est qu’un grand voile de dissimulation. D.ieu est derrière tout ce qui se passe dans le monde. C’est le secret du Tzimtzoum. D.ieu est présent et pourtant caché — le grand paradoxe du monde. C’est pourquoi nous couvrons nos yeux en récitant le Shema. Car cette vérité contredit ce qui apparaît à nos yeux. En effet, le mot hébreu pour désigner ce monde est « Olam » (עולם), dérivé de la racine עלם qui signifie « dissimulation ».

Si l’on médite correctement sur le Shema, en vérité, on devrait cesser d’exister à un certain niveau. Car on retourne au domaine primordial de « Bérésheit Barah », où il n’y a que D.ieu. Le voile de dissimulation est momentanément levé et la vérité se révèle.
Les dernières lettres forment "Vérité" (Baal HaTourim)
בְּרֵאשִׁ֖ית בָּרָ֣א אֱ-לֹהִ֑ים אֵ֥ת הַשָּׁמַ֖יִם וְאֵ֥ת הָאָֽרֶץ
ת א ם
אמת Vérité

Observe que les trois premiers mots de Bérésheit 1:1 ont pour lettres finales « Emet » (אמת – Vérité), mais ces lettres sont en désordre. Car il faut travailler pour atteindre cette vérité.

Maintenant, regardons le secret qui était juste sous notre nez : prends la séquence 676-1351 comme un seul nombre :

6761351 = 6,761,351 – quelle est la somme des milliers ? C’est :
6+761+351 = 1,118 ("Écoute Israël, Hachem est notre D.ieu, Hachem est Un")

Et en termes mathématiques, c’est (aussi) 1,118 = 13 × 86 = אלהי'ם × אחד = אלהי'ם × אהבה (Elokim×Amour ou Elokim×Un)

1,118 = 2×13×43 qui sont tous les facteurs premiers de 26 (le Tétragramme) et 86 (Elokim). Ainsi, 1 118 est le PREMIER nombre divisible à la fois par 26 et 86. Cela enseigne que D.ieu (26) est Elokim (86). Il n’y a qu’Un seul D.ieu suprême derrière toute chose.

Israël et Pi

541 est Israël, et Israël est la nation qui doit couronner D.ieu comme Roi. À la fin, cela arrivera, le Messie viendra, et D.ieu sera couronné Roi sur tous les mondes. Cela se fait spécifiquement dans le monde physique (Assiya), où D.ieu veut une Dirah (demeure). Il s'agit donc de l’unification de Elokim avec Havaia (Tétragramme), qui s’exprime profondément dans : « Écoute , ô Israël, H-ashem Elokeinu H-ashem Echad, Hachem est Un » (Shema Israël...) (Deutéronome 6:4) . C’est cette unification qu’Israël doit accomplir.
541 apparaît en premier au 1,112ᵉ chiffre de Pi
3479131515574857242454150695950829533116861
 ^ <-- 1,112ᵉ chiffre
541 apparaît pour la première fois à la position 1,112. Où 112 est la simple unification d'Élohim et de Havaia. Havaia (26) + Elokim (86) = 112 (tandis que Elokim × Havaia donne 2 236, soit 2 fois la valeur du verset « Écoute Israël.. », récitée deux fois par jour, jour et nuit).

1,112 est le nombre de couronnement de 112 ; c’est le couronnement de Hachem Elokim sur toute la réalité, tout l’espace et le temps, etc.. "Hachem est Elokim dans les cieux en haut et sur la terre en bas, il n'y en a pas d'autre" (Deut.4:35).

1112 apparaît en premier au 12,701ᵉ chiffre de Pi
78671169414776421441111263583553871361011023
 ^ <-- 12,701ᵉ chiffre
1,112 apparaît pour la première fois à la position 12701 ce qui semble indiquer ou symboliser le même processus de couronnement, utilisant l’acte de la création lui-même comme la couronne de la création – le processus commence par le premier verset, et 441 (vérité) le précède[1]. 12701 = 13×165ᵉ nombre premier (977)

Étoile 13

Le premier mot de la Torah est "Bérésheit"[2] (traduction littérale : « au commencement DE ») et sa guématria petite est 13. Bérésheit était « le commencement DE ». Le commencement de quoi ? Cela n’est pas précisé. Car c'était le commencement du commencement lui-même. C’était le commencement de la possibilité même du commencement — c’est-à-dire, le début du domaine de la pluralité, le Tzimtzoum du domaine divin afin que la pluralité puisse exister.

13 est la guématria de « Un » (Echad) et de « Amour » (Ahava), qui sont tous deux le concept d'unité. Observez que 13 est la première figurée de l'Étoile de David, qui ressemble à une étoile.

Les figurées de l'Étoile de David reflètent ces étapes de la création. La première étoile (1) est le Point initial, le domaine initial de D.ieu où tout est Un et il n’y a pas de place pour autre chose.

L'Étoile de David suivante est exactement 13 = Ehad-Un (אחד). Ensuite, nous avons un autre terme pour désigner « un » qui signifie "un issu de quelque chose". C'est ce qu'on appelle « Yechidah » (יחידה) et sa guématria est 37. Encore une fois, l'étoile suivante a 37 points. Enfin, la quatrième étoile est 73, ce qui est la « sagesse » elle-même, car tous ces termes liés à l’unité sont aussi liés à la sagesse.

Amour = 13
Comme précédemment, l'Étoile de David racine est l’Étoile 13. C’est la première Étoile qui ressemble à une étoile (la 1ʳᵉ n’est qu’un point central).

13 est la guématria de « Amour » (Ahava).

Lorsque nous récitons le Shema, nous devons concentrer pleinement notre esprit sur l’unicité véritable de D.ieu, et la conscience est censée se laisser aller totalement, même si cela signifie que le « moi » va « mourir » ou « disparaître », et simplement faire confiance à D.ieu, et Le rejoindre avec amour.

Ce sont des notions extrêmement profondes qui nécessitent beaucoup d’explications, mais fondamentalement, on peut les dire très simplement : puisque D.ieu est véritablement Un et indivisible, nous revenons alors, à travers le Tsimzum des mondes, au royaume « seul le Hachém existe », comme décrit précédemment[1].

Intéressamment, les 13 premiers chiffres de Pi sont :
Pi = 3.1415926535897
1+415+926+535+897 = 2774 = 2701+73 = 2×19×73
2774 a aussi une somme finale des milliers :
2+774 = 776 = Nekoudah Emtzait = le Tzimtzoum.

Bonté Divine

La transformation des « lettres précédentes » (Lifnei) de Genèse 1:1 est :
Guématria du premier verset
(Transformation des lettres précédentes de l’Arizal)
אקארטש אקא אכדטמ אש דרלטמ האש דאקצ
611 102 74 301 283 306 195
En additionnant les Gematria des mots :
195+306+283+301+74+102+611 = 1872 = 26×72

26 est la guématria du Tétragramme, et 72 = Hessed (bonté). La transformation des « lettres précédentes » (Lifnei) creuse à la racine, et nous montre ainsi que le fondement de Genèse 1:1 est purement et uniquement la bonté divine.

La création fut un acte d’amour. C’est "quelque chose" que D.ieu a décidé de réaliser afin d’accomplir Son amour et de s’unir par amour avec les entités créées (si elles le choisissent de leur libre arbitre). Le Tétragramme exprime parfaitement cela.

Tetragramaton = 26 = 13×2
C’est un Nom unique, et pourtant composé de deux étoiles d’amour et d’unité. Deux, car il y a Hachem qui est Un, et par amour, Il nous a créés pour que nous nous unissions à Lui. C'est l'idée fondamentale et, évidemment, beaucoup de choses restent à discuter, comme pourquoi 13 l'exprime spécifiquement, pourquoi ce sont des étoiles de David, pourquoi ce sont des nombres premiers et pourquoi 13 est-il le 6ᵉ nombre premier, etc.

Pour accomplir le but de la création, il faut activer sa volonté en ce sens, désirer ardemment la vérité, aimer la vérité et parvenir à un véritable amour avec Hachem pour sa propre vie et sa création[1].

Où trouvons-nous l’Amour de la Vérité (אהבת אמת=849) pour la première fois dans Pi ? À la position 1675 (1+675=676)

Avec les nombres, nous voyons une telle action lorsque le nombre couronne manque d’une unité, comme 1540 qui doit activer le "1" pour devenir 1 + 540 = 541.

Une recherche de 13–541 (amour d’Israël) dans Pi donne :
le nombre 13541 apparaît au 82,492ᵉ chiffre décimal de Pi
443076721645270313451354167649668901274786801
 ^ <-- 82,492ᵉ chiffre

Observe la séquence avant 703–13–45, et après 676. Je vois plusieurs façons de l’interpréter, mais une chose est sûre :
il y a ici une grande histoire. Disons simplement : amour (13) de l’homme (45), amour (13) d’Israël (541), signé D.ieu qui a créé la Genèse (676).

Et dans la section du Maguid Mécharim sur Shir HaShirim (Cantique des Cantiques) :
« Car l’amour est fort comme la mort » (Shir/Cantique 8:6) — D.ieu aime tous les êtres humains d’un amour intense comme la mort. C’est-à-dire : de même que la mort étend ses ailes sur tous les êtres humains, ainsi la miséricorde de D.ieu s’étend sur chaque être humain sans aucune exception...

En effet, l’étoile de David est profondément un "symbole du cœur", un symbole d’amour et d’unité. Une personne doit "Jeter sa logique" et parler beaucoup avec D.ieu. Non pas comme s’Il était loin, mais plutôt comme à votre père, comme s'Il était juste à côté de vous et écoutait. Alors vous verrez des merveilles.

Espace à 26 dimensions
Niveau : Avancé

Comme précédemment :
La guématria de Genèse 1:1=2701
Le point central de 2701=1351(351 = 26ᵉ Triangle)
Le point central de 1351=676(262 = 26ᵉ Carré)

351 est le 26ᵉ nombre triangulaire (1+2+3+...+26=351). Ainsi, 1351 est le « nombre couronne » (מספר כתר) du 26ᵉ triangle.

Le point central ultime est 676, qui est le 26ᵉ carré.

26 est appelé le "Nom d’Essence" de D.ieu, car il décrit Son essence : D.ieu était, est, et sera toujours. Il semble que le symbolisme ici est que la création a commencé avec le royaume de D.ieu seul. C’est 262, où tout ce qui fut, est et sera était contenu dans « l’espace éternel » de D.ieu, pour ainsi dire, en potentiel.

Suite à cela, nous trouvons la couronne du 26ᵉ Triangle, faisant allusion à la Keter (couronne) et à la chaîne menant du 26 jusqu’au point de la création.

Voici quelques mots intéressants liés à cela, que j’ai entendus de Oren Evron :
676 est le résultat obtenu en élevant le Tétragramme (26) à la puissance 2, c’est-à-dire en formant un CARRÉ — ce qui signifie créer de l’espace. Littéralement et mathématiquement, on ajoute une dimension en le "mettant au carré".

Faites la même chose, mais cette fois non pas au Nom entier, mais à ses lettres individuelles du Tétragramme, et vous obtiendrez :

10-5-6-5 devient : 102 + 52 + 62 + 52 = 186 = Makom = ESPACE !

Cela est bien connu dans les livres de Kabbale et revêt une grande importance.

Rappelez-vous également que 2701 apparaît pour la première fois dans Pi à la position 165 (= Nekoudah / Point). En multipliant les deux premières lettres du Tétragramme avec les deux dernières :
11×15 = 165 (Nekoudah/point).

Ceci est très profond et cette connexion améliorée entre les parties du Nom de D-ieu est quelque chose qui est écrit dans de nombreux textes et livres de Kabbale, mais pas sous forme de formule mathématique telle qu'énoncée ci-dessus, à ma connaissance. C'est incroyablement, incroyablement profond.

C'est vraiment très profond, sans aucun doute.

Cependant, le concept de création de « l’espace » est un sujet sur lequel il faut vraiment se concentrer et méditer.

L'espace occupe-t-il de l'espace ? Car ce qui se passe, c’est que la définition que notre esprit se fait est que si l’on « met au carré » quelque chose, alors il y a désormais un espace, qui est un carré de 26 côtés, c'est-à-dire qu'il y a une « surface » qui est l'espace dont nous parlons.

Mais en réalité, faut-il nécessairement qu’il y ait un « espace » entre les points ? Ou bien est-ce que les points pourraient, par exemple, être empilés les uns sur les autres, n'occupant aucun espace, mais s'enrichissant des informations qu'ils contiennent avant d'être extraits dans ce que nous appelons « l’espace réel » ou l’espace en « 2D » ou « 3D » ?

Comme par exemple, des dimensions qui sont « sans espace » dans notre vision du 2D ou du 3D ?

Si, par définition, nous effondrons 2701 au Point Central, alors nous utilisons déjà des définitions d'espace pour « 2701 » ?

Si tel est le cas, alors le "POINT central" est le point focal d’un emplacement spécifique dans la définition de 2701 (en termes de X/Y/Z et de Temps, etc.), et ce « Point » est indivisible, car il est… eh bien, un POINT — soit l’ultime plus petite chose concevable par notre esprit. Par conséquent, il n’occupe aucun espace, et représente donc « 0 » espace. Alors comment diviser le Zéro ?

Mais alors vous demandez : et qu'est-ce que le point central de 1351… ce qui est « juste » une façon de « pointer » le « point » et non un compte réel dans le point, mais plutôt un compte réel concernant 2701 points : où 1350 points d’un côté pointent vers le centre, et 1350 autres points de l’autre côté aussi, ou bien 2700 points l’entourant, etc…

Alors, on découvre que puisque 1351 est un nombre — et en plus un nombre impair — il PEUT être à nouveau « divisé » en son point central et les « points » qui pointent vers ce point. On est donc face à deux possibilités : soit on se déplace depuis le point central de 2701 vers un côté, qui est le point central de ces 2701 points, dans la partie que nous avons déjà divisée en deux groupes de 1350 – 1 – 1350, et maintenant nous pointons sur le 676ᵉ point de ce côté…

OU BIEN !! On est en réalité en train de s’effondrer vers le point pour découvrir qu’il contient un fractal en lui-même — et non pas qu’on est redirigé vers un autre point parmi les 2701 points. J’espère que c’est clair.

À mon sens, les deux interprétations sont valables, mais l’effondrement vers l’intérieur est beaucoup plus approprié au concept véhiculé par ces nombres et ces figures.

Ainsi, lorsqu’on s’effondre à nouveau vers la Racine de tout cela — ce qui est extraordinaire, ce qui est étonnant, c'est qu'elle est en fait « enracinée » dans un nombre solide, c’est-à-dire qu’elle se termine par un carré, et pas n’importe lequel : un carré de 26 fois 26 — je pense que nous trouvons ici un espace à 26 dimensions, qui n’est pas encore physique, mais qui constitue en fait le bloc de construction le plus fondamental de l’espace tel que nous le connaissons en 2D et 3D.

Qu’est-ce que je veux dire par là ? Extrapolons un peu plus :

La racine 26 représente toutes les dimensions à la fois, comme le révèle le Nom lui-même, qui signifie littéralement : Tout ce qui fut, tout ce qui est, tout ce qui sera — c'est-à-dire le temps, mais aussi, en même « temps », à tout ce qui a été, est, et sera, c’est-à-dire à toutes les choses qui peuvent prendre forme ou substance et s'actualiser dans la réalité physique, ou qui œuvrent pour que cela se condense en réalité, etc. tous les détails de « L'EXISTENCE » sont présents à tout instant.

Cela signifie que c’est à la fois la définition du temps et de la matière, mais aussi de tout ce qui est nécessaire pour que le « POINT » devienne la définition de l’espace — c’est-à-dire la pluralité de points situés à différents « emplacements », définissant ainsi l'espace. Mais comment les points pourraient-ils se trouver à différents « emplacements » s’il n’y avait pas d’espace définissant différents emplacements pour les pointer ou les localiser à ces « différents » endroits ? C’est comme la question de l’œuf et de la poule : il faut un « point » pour créer l’espace, mais il faut aussi un « espace » pour permettre aux points d'être situés à différents emplacements afin que l'espace prenne forme.

Cela résout donc l’énigme : tout est enraciné dans le premier point, toutes les informations nécessaires pour ces « décompressions » se trouvent déjà dans ce point central initial, et ainsi, le point est la plus grande « unicité » que l'on puisse concevoir. Il porte déjà en lui toutes les définitions nécessaires pour que le reste puisse être construit. Il est donc le bloc de construction fondamental — la "Hokhmah première", la sagesse initiale.

C’est bien plus encore que ce qui vient d’être dit, mais cela permet, du moins à moi, de comprendre cela d'une façon cohérente, du début à la fin — et pour moi, ce n'est rien de moins qu'absolument incroyable et stupéfiant.


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notes
  • [1] entendu de Oren Evron retour au texte
     
  • [2] Le mot d’ouverture "Bereishit" est une sorte de super-nombre, un cristal aux facettes infinies et aux sens multiples.

    La lettre Beit de Bereishit est reliée à la Sefirah de Binah (compréhension), la sefirah qui suit "Hokhmah" (sagesse) et qui prend le "point" de sagesse pour construire à partir de lui.

    Remarquons que Bereishit = 913 = 900 + 13 (Un)
    900 = 22×32×52, c’est-à-dire que ses facteurs sont les carrés des 3 premiers nombres premiers.

    Cela semble peut-être faire allusion au commencement des nombres depuis 1, l’unitaire, le nombre premier ultime. La sefirah de Binah (compréhension) construit le système des nombres à partir du point initial de la sagesse.

    Remarquons que l’Étoile suivante après 73 (sagesse) est l’étoile de 121 points (premier non-premier).
    121 = 11×11 suggère une forme d’expansion numérique. 73 (Sagesse) est représentée par la lettre Youd, dont la guématria est 10, et la petite guématria est 1.

    121 = 11×11 ressemble à l’expansion de 10 + 1. Le 10 représente la structure entière tandis que le nombre 11 représente le "mouvement" (Shaarei Orah). Élever au carré signifie ajouter une dimension.
    En développant davantage :
    11×11×11 = 1331 (13/31).
    111×111=12321
    111×111×111=1367631 (on observe le 13/676/31, c’est-à-dire 676 au centre = 262).
    Surprise intéressante. Cela mérite une étude plus approfondie..

    Notons également que 351 = 702/2 (moitié du Chabbat)
    Triangle 351 = 61,776 (61=Ayin and 776 = point central)
    Le 26ᵉ nombre premier = 101 =מאין
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